jeudi 26 août 2010

La Magnifique des Ardennes

Par Patrick Genicot Arrivée sur le site a 08 hrs 10, pas de difficulté pour se garer car nous ne seront pas nombreux a prendre le départ. Sonts présent Arnaud, Francis, Eric, Didier, Emile, Boris, Thierry, Alex, Olivier et moi-même. Dommage, pas de Gus !!! Aurait-il pris froid depuis qu’il roule sans ses jambières en laine ? Grace a Eric et la reco du début du mois je sais a quoi m’attendre. Dés le départ ca monte et le tempo va en accélérant je ne veux pas me griller trop tôt alors je laisse filler et arrive au sommet avec – de 100 m de la tête, je croyais Olivier dans ma roue mais pas de chance, seulement des gars du nord et ils chicanent a rouler. Cornimont, j’emmène le groupe dans la côte lorsque j’entend Olivier et qu’il me demande de soulager un peu la cadence. Avec ceux que nous reprenons de l’avant nous allons nous présenter a une vingtaine au pied du maka, la première que je redoute car même s’il y a 15 jours je m’y suis fait plaisir aujourd’hui le rythme est différent. Ca grimpe et le groupe explose, Olivier perd du terrain et je décide de l’attendre pour le ramener sur le groupe une fois passé le sommet. Une fois rentré, ca ne roule pas assez vite et je décide de passer devant pour remettre du rythme. Quand je me retourne, je m’aperçois que seulement 4 me suivent et je décide de continuer. Arrivée a Dohan a une petite dizaine, et la deuxième dont je me méfie car en plein soleil. Celle la passée, on plonge vers le satty et je les laisse rouler tandis que je tourne les jambes pour les assouplir un peu. Ont se serait cru a Maboge lors de le crique lorsque l’on a viré a droite, des jurons en flamand et une salade de chaine et dérailleur … encore une fois ca explose et je termine 2eme du groupe au dessus. Pas de chance, voila les crampes qui arrivent, je rempli mon bidon au ravito et repart a la poursuite de deux autres concurrents qui ne se sont pas arrêtés. Je les rattrape et sans le vouloir, les dépose dans les quelques bosses qui suivent. Me voila seul pour attaquer la côte de Palis, je me fais reprendre par 6 concurrents et ne peux suivre leur train faute de crampes. C’est dans la dernière montée que je suis rentré sur le groupe et les ai distancés sauf 1 qui a réussi a les semer avant mon retour. La descente fut aussi dure au retour que lors du départ. Un beau parcours et une belle journée, j’espère être aussi bien samedi prochain sur la crique et sur la vosgienne la semaine qui suit. A+ Patrick.

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